Voici une tunique cousue au creux de l'automne avant de partir au Maroc, pour pouvoir affronter la chaleur mais décemment (n'allez pas déduire que je porte des tenues follement affriolantes en plein été...)!
Pour cette fois, pas de référence de patron, je l'ai bidouillée à partir d'une tunique de ma collègue et amie Pélagie.
A part ça, aujourd'hui, j'ai découvert que des gens que je ne connais même pas -ni de près ni de loin-viennent parfois musarder sur ce blog et ça m'a fait très plaisir !
Chère Madame,
RépondreSupprimerMa mie et moi même nous sommes levés dès potron-minet aujourd'hui, réveillés par un mystérieux messager. Sans contre-partie, il nous fit l'offrande d'une fenêtre magique qu'il appella "ordinatoire".
A brûle-pourpoint, l'inconnu nous intima de nous mettre sur notre séant face à la dite fenêtre, afin d'éviter de choir les quatre fers en l'air.
Sage précaution que celle-là.
Car notre surprise fut grande lorsque nous decouvrimes votre chez-vous, et les mille et une merveilles qu'il abrite.
Le moins que l'on puisse dire, c'est que vous ne jetez pas de la poudre aux yeux, vous ne vous emmélez pas les pinceaux, vous avez le compas dans l'oeil, vous avez un oeil de lynx pour vous mettre sur votre trente-et-un. Nous en étions comme deux ronds de flan.
Cessez donc de bailler aux corneilles et de mener cette vie de patachon, et remettez-vous au travail, sacrebleu !
Par la barbe du prophète, notre coeur bat la chamade à l'idée de descouvrir vos futures créations. Le Royaume des Francs a besoin de vous, atelierdemahaut.com !
Chers inconnus, votre propos m'a coupée la chique...
RépondreSupprimerJ'appartiens pourtant à la France qui se lève tôt, qui ne rechigne pas à l'ouvrage, qui oeuvre chaque jour au bien commun.
Quoiqu'il en soit, vous apprendrez avec bonheur, que l'atelier est désormais tout entier tourné vers la confection de tête de Caribou (ou de chevreuils ou de cerfs le débat bat son plein).
Bien à vous,
l'atelier de Mahaut
Automne 1972,Vergenjac
Nous attendons ardemment l'arrivée inopinée de ces cervidés en rut afin que nous puissions, nous aussi, avec l'expertise qui nous caractérise, en débattre.
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